Décollement de la rétine et autres scènes enthousiasmantes ... C'est Youth

Youth ...Voilà, nous n'avions pas véritablement remarqué ce film lors de la quinzaine Cannoise. D'ailleurs, nous n'avions, tout simplement, pas remarqué le Festival de Cannes, sans doute par désintérêt pour un événement entendu, qui met à nu, la vacuité d'une industrie vieillissante.


Bref, c'est avant tout cet extrait délicieux qui nous a interloqués. Du cul, oui, en tout cas, une scène hors du temps où une créature des plus charmantes apparaît dans le plus simple appareil.



Mais Youth, puisque c'est le film dont nous parlons ici, ne se limite pas à ce cul merveilleux, cette paire de seins hors normes et cette petite chatte à peine visible cette merveilleuse scéne.


Avec une distribution anthologiquement Class (Michael Caine, Harvey Keitel, Rachel Weisz, Paul Dano et Jane Fonda), Youth est une illustration quasi biblique de la vieillesse.


Deux amis, l'un compositeur et chef d’orchestre à la retraite et l'autre réalisateur de renom, s'offrent, contraints et forcés une petite parenthèse dans un hôtel de luxe en Suisse. À l'aube de leurs 80 printemps, le temps est compté, les choses de la vie sont goûtées avec délectation, et l'avenir doit être pris à bras-le-corps sans peur, ni crainte, mais dans un paradigme bien différent.


Paolo Sorrentino, le réalisateur de ce petit bijou, nous livre une version à l'italienne de ce que nous appelons la vieillesse et orchestre avec brio, un duo iconique.


Bref, sans doute pas un chef-d'oeuvre, mais un film a apprécié, sans amertume et sans considérer les critiques de Télérama ...


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