Entreview : Frédéric Josué, Le Publicitor.

 


Brillant publicitaire, enseignant attentif, mais surtout touche à tout de génie, Frédéric Josué est un esthète amoureux de belles matières et de jolies coupes.


Frédéric nous prouve qu'une vie à 100km/h partagée entre une famille nombreuse et un job passionnant ne peuvent brider une connaissance pointue de l'univers du style et de la mode.  Frédéric s’est gentiment prêté au jeu de nos questions tout en nous donnant une leçon stylistique.



 




Ton libre de chevet : L’étranger, Camus


Ta playlist idéale : Eddy Veder  / Phoenix / America / Heitor Villa-Lobos


Les basics de ta garde robe : Costume Agnès b noir + APC bleu / Pull Marin Saint James + Carhartt Europe / un Sweat APC / chemisettes APC / chino slim Carhartt Europe / Vans Authentic bleues + Era  Doren Aloha / Bottines cuir APC / Rolex Submariner sans date pour le day to day + Hamilton Khaki en vadrouille internationale, les deux avec bracelet NATO/ Bagouses Yves Gratas Oberkampf / ceinture cuir + boucles vintages USA / Beret basque en vadrouille internationale / Echarpe American Vintage en vadrouille internationale / slips american apparel / chaussettes UNIQLO / Leica M / Calepin + Crayon à papier / porte carte Spalding and Bros.


Le dernier film vu : Detachment, Tony Kaye.


Un endroit qui te ressemble : Tokyo Eat – Chez Jeannette – Nanashi. Mon quartier le 10ème Porte Saint Denis.


Là où tu n’iras jamais : Royal Monceau / Hotel Mondrian


Avec qui passer une soirée en tête à tête : Bertrand Tavernier – Raymond Depardon


L’objet indispensable est : Le Leathermann (et en même temps complètement inutile)


Tes plaisirs coupables : Ecouter TSF au casque alors que mes trois garçons retournent la maison.


Des projets à venir : xxx kids xxx wife xxx friends


Une citation que tu aimes : « Agis toujours de telle sorte que la maxime de ton action puisse être érigée en loi universelle de la nature. Telle est la loi morale ». Kant


Une citation que tu détestes : « Jamais tu ne te repentiras de te taire, mais très souvent d’avoir parlé », Josémaria Escriva de Balaguer.

Poster un commentaire